À minuit, ces hommes furent conduits devant un hangar et pendus l'un après l'autre, comme si c'était une formalité. Dans son livre "L'enfer d'Inal", Mahamadou Sy, l'un des rares rescapés, relate un sinistre épisode où un caporal s'octroya le luxe de siroter un verre de thé