Tortures, violence sexuelle, cruauté extrême : la réalité russe a dégénéré jusqu’au niveau physiologique le plus bas. Personne dans la littérature russe contemporaine ne l'a disséquée d’une manière aussi crue, abrupte et impitoyable que Vladimir Sorokine.
@DeskRussie
@srdserge
Effroyable.
Quelqu'un parlait ici hier de la toxicité potentielle de la littérature en // au gloubiboulga insane de certains ânes "sciencessocialistes".
Est-ce que 40 ans de délires ont pu influencer les comportements au point de normaliser l'horreur ?